En ce qui me concerne, c'est une première !
La correction d'un devoir sur table sur lequel des étudiants de l'IRTS de Valenciennes ont planché.
Le sujet de l'épreuve : dynamiques interinstitutionnelles, partenariales et réseaux.
Il ne faut pas croire que le correcteur est un être implacable. Mon souci, qui est certainement celui de tout correcteur, est d'être juste ; ne pas sur-noter, ne pas sous-noter. Une note finale peut me rendre interrogatif une ou deux minutes avant de la valider définitivement.
Le correcteur peut se référer aux éléments de correction, aux attendus, aux documents de l'épreuve. L'exercice est intéressant, il peut se montrer amusant et même touchant à la lecture des copies des étudiants ; surtout lorsqu'il s'agit de futurs travailleurs sociaux qui prennent à coeur leur futur métier, qu'ils se projettent dans les fonctions qui les attendent avec un public qui sera souvent en détresse : détresse morale, financière, affective, avec des difficultés pour se loger, pour se nourir, pour s'insérer et trouver leur place.
La France est le pays de l'OCDE qui dépense le plus en matière sociale.
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